la visite touristique

Kayarf partit explorer la ville après avoir trouvé quelques sappes et ses pas le menèrent naturellement au supermarché. Devant la porte il se dit:*Mais je n'ai pas perdu tous mes pouvoirs puisque ce mur transparant s'ouvre devant moi.* Il entra. Il ne savait pas pourquoi mais il se sentait attiré par cet endroit. Ne sachant pas où il était il alla voir une dame pour lui demander.
_"Excuse me lady...
_Kèskidi lui?
_Ah nous sommes en France...
_Bah oui tu croyait quoi toi?
_Vous pouriez faire preuve d'un peu de respect tout de même.
_Bon tu veu quoi toi?
_Auriez vous l'obligence de me vouvoyer? Je voudrais retrouver la route du mont Olympe.
_Ah... Désolé je ne sais pas monsieur. Bonne journée."
Et la damme s'en va à une cabine téléphonique : "Allo la police. Y'a un évadé de l'asile de fou qui se promène au supermarché."

Kayarf erra encore dans le magazin pour visiter en se demendant où il trouverait une potion qui lui ferait passer son mal à la tête. Puis au bout de plusieurs minutes, concluant que ce lieu était inutile, se dirigea vers la sortie. Alors qu'il s'apprétait à franchir la porte il vit une voiture _ il sais ce que c'est à force d'inciter des gens à conduire bourrés _ avec une lumière bleu sur le toit. Coup de syrène, dérapage au frein à main et arrèt à deux mètres de Kayarf. Mais qui étaient ces fou furieux?

Après que la personne qui a passé le coup de téléphone lui ait donné le signalement de l'individu suspect en question Jean-Louis se pécipita au centre commercial pour y aller interpeler le suspect, dans son bel uniforme bleu et sans prendre de collègue avec lui.Par chance quand il se garait devant le magazin son client en sortait. Il se précipita hors de la voiture, sortit son arme qu'il pointa sur ce jeune homme roux avec des dreadlocks en hurlant "Couches toi par terre, ne bouges pas. Si tu bouge t'es mort. Mais couches toi par terre quand même."

Kayarf ne comprenait pas qui était cet homme ni ce qu'il lui voulait mais comme il avait déja poussé des ivrognes au suicide il reconnu l'arme dans sa main et se sentit menacé. Il tenta une de lui parler.
"Bonjour monsieur je suis perdu et j'ai mal à la tête pourriez vous m'indiquer un mage qui puisse me guérir et me guider jusqu'au chemin du mont olympe à défaut d'adorer la divinité que je suis."

Jean-Louis resta quelque peu stupéfait de la réaction de ce junky qui se prenait pour un dieu, et cependant qu'il le braquait avec son arme il pensait *La petite vieille au téléphone avait sans doute raison. Ca doit être un évadé de l'asile qu'il ne fallait pas maltraiter, laisser ce soin là au infirmier. Mais il me provoque, il va voir à qui il à affaire.*
Il dit "Couche toi ou je te massacre" et en un rien de temps rengea son arme et se jeta sur cet individu étrange.

La masse de cette brute s'abatit sur lui. Tombant face contre terre il se cassa le nez. Il pouvait sentir toute l'agressivité de cet homme qui rayonnait sur lui comme un soleil noir. Il essaya de parler mais rien ne vint. Le sang de son nez lui coulait dans la gorge. Il voulu se servir de ses pouvoirs divins pour le tuer mais rien ne se passa. Pour la première fois il ressentit une émotion fort intriguante: la bouche sans salive, mais pleine de sang, le coeur qui bat très vite, les jambes qui tremblent : il avait peur. Et comme toute peur est peur de la mort il s'imagina sa tombe dans une clairière sur un flanc du mont Olympe. Le désespoir l'envahi tel un Gengis Kahn sans visage. Il se rendit compte que seul un miracle pourait l'aider mais comme il n'est pas ami avec Dieu ç'était mal barré alors il espèra qu'une de ces personnes autour de lui vienne l'aider mais les gens regardaient la scène et se disait des choses incompréhensible pour lui vu son état de stress. Sa seule pensée resta donc*Que quelqu'un vienne m'aider à l'aide au secours!*

"Hahaha personne ne vriendra t'aider et avant de te ramener à l'asile je vais t'emmener au comissaria. Allez viens là sale merde. Un bon interrogatoire pour voir si tu est bien tarré et après je te rends à l'enfer du docteur Pinard. Il t'as manqué hein?"
Et cependant qu'il disait cela il lui passait les menottes pour l'embarquer

Kayarf impuissant se laissa mettre les menottes et tandis qu'il se faisait embarqué il se demandait bien pourquoi personne ne reconnaissait son essence divine. Mais bon les hommes sur Terre sont connus au ciel pour ne pas avoir vraiment la foi ni le troisième oeil. Il se demandait aussi où il allait et comment il allait être traité. Décidément le monde des humains était bien hostile!